Sujet: "Suicide" de Maura Liliana Guerra Lun 25 Fév - 20:11
SUICIDIO
CORTE LAS VENAS DE MIS BRAZOS BUSCANDO UNA MEJOR SALIDA A LA TRISTEZA QUE ALIMENTABA CADA UNO DE MIS DIAS...
...SENTI COMO LA SANGRE ABANDONABA LENTAMENTE LA TIBIEZA DE MI CUERPO TIÑENDO GOTA A GOTA LA PALIDEZ DEL SUELO...
...LLORE POR MIS ERRORES POR LOS QUE HICE SUFRIR POR AQUELLOS QUE ALGUNA VEZ SE PREOCUPARON POR MI...
SUERTE PERVERSA... QUE ARREBATAS MIS ILUSIONES ¡TE REGOCIJAS AL VER COMO MUEREN! ¿PORQUE LA ANGUSTIA QUE CAUSAS PROVOCA EN TI TODOS LOS PLACERES?...
...MIENTRAS, EN ESPERA DE MI MUERTE SEGUIA LLOVIENDO SOBRE MOJADO AUN SEGUIA EL MALDITO CIELO INFELIZMENTE NUBLADO... ...LA FUERZA DE MI CUERPO COMENZO A DESVANECERSE CUANDO PEDAZOS DE MIS SUEÑOS AUN FLOTABAN EN MI MENTE...
...EN UN MUNDO DE PAPEL INFESTADO DE MENTIRAS DE SOMBRAS IMPLACABLES Y BURLAS INTERMINABLES...
...YA NO HUBO TIEMPO PARA LAMENTAR LA SANGRE BROTABA, FORMABA UN MAR DEJE DE SENTIR TODO EL DOLOR QUE LASTIMABA AL DEBIL CORAZON...
DEJE DE ESCUCHAR EL LAMENTO DEL VIENTO CUANDO LA VOZ DE TODOS MIS MIEDOS POR FIN DECIDIO GUARDAR SILENCIO...
...CORTE LAS VENAS DE MIS BRAZOS BUSCANDO UNA MEJOR SALIDA AL ODIO Y AL DOLOR QUE ALIMENTABA CADA UNO DE AQUELLOS DIAS...
...EN UN LARGO Y DEBIL SUSPIRO, MI PRESCENCIA DEJO DE EXISTIR... ...Y EN UN SUEÑO ETERNO EL SOL HA SALIDO DE NUEVO PARA MI...
SUICIDE
J'ai coupé les veines de mes bras Cherchant une meilleur sortie À la tristesse qui nourrissait Chacun de mes jours...
...J'ai senti comme le sang Abandonnant lentement La tiédeur de mon corps Tintant goutte à goutte La pâleur du sol
...J'ai pleuré pour mes erreurs Pour ceux que j'ai fait souffrir Ceux qui parfois Se préoccupaient pour moi...
Chance perverse... Qui arrache mes illusions Tu te réjouis à voir comment ils meurent ! Car l'angoisse que tu causes Provoquent-ils en toi tous les plaisirs ?...
...Entre temps dans l'attente de ma mort Il pleuvait à verse Le ciel continuait encore A être tristement nuageux. ...La force de mon corps Commence à s'épuiser Quand des morceaux de mes rêves Flottaient encore dans mon esprit...
...Dans un monde de papier Infecté de mensonges D'ombres implacables Et de moqueries interminables...
...Point de temps pour les regrets Le sang poussait, formait une mer J'ai cessé de sentir toute la douleur Qui blessait mon coeur fragile...
J'ai cessé d'écouter le regret du vent Quand la voix de toutes mes peurs A finalement décidé de garder le silence...
...J'ai coupé les veines de mes bras Cherchant une meilleur sortie A la haine et à la douleur que nourrissait Chacun de ces jours...
...Dans un long et faible soupir, J'ai cessé d'exister... ...Et dans un éternel rêve Le soleil a brillé de nouveau pour moi...