Comme un vaisseau figé dans l’attente de l’aube, Elle accorde au maquis de l’oiseau émeraude Un répit salvateur sous sa robe jolie.
Plongé dans les desseins de l’engouement fractal, L’oiseau prisme s’attache aux étangs de lumière Qui trament son plumage à la brune matière De cette iridescence emplie de végétal.
Mais le vent qui s’amorce aux pupilles des cimes Lui rapporte les sons immanents du désordre,
Ces blessures du monde ouvertes comme un ogre Sur sa tranquillité d’oiseau des rarissimes.
Et pour chasser l’écho des grondements suspects Le Quetzal trace alors d’une danse en plein jour Les tournoiements dorés d’une légère cour Qui tissent à l’aimée un bouclier de paix.
Quetzal
La cima tropical descansa en los labios de la lluvia. Como una nave paralizada en la espera de l’ alba, Concede a la guerrilla del pájaro esmeralda Un respiro salvador bajo su bonito vestido.
Hundido en los designios de la pasión reproductora, El pájaro prisma amarra a los estanques de luz Quiénes tejen su plumaje a la parda materia De esta iridiscencia llenada de vegetal.
Pero el viento que comienza en las pupillas de las cumbres Le trae de nuevo los sonidos que emanan del desorden, Estas heridas del mundo abiertas como un ogro Sobre su tranquilidad de pájaro raro.
Y para expulsar el eco de los zumbidos sospechosos El Quetzal traza entonces de una danza en pleno día Los torbellinos dorados de un ligero corte Quiénes tejen a la amada al escudo de paz.