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Messages : 461 Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: "BRIÈVETÉS " de Noé Guzmán Flores Dim 2 Mar - 2:42 | |
| BREVERIAS
I. Es tu mundo, Eres tu y tu fuego Tu pasión, la entrega; La manera de persuadir Mis colapsadas noches, Los arrumacos tiernos, Tus besos, tu magia, Es lo que me intriga Eres todo, Mujer de fuego.
II. Te amo en mi locura Llano y perspicaz arrullo de lluvia Estas dormida y sumergida en agua bendita, Amor del siglo, amor del bueno En ti viajo sin buscar consuelo.
III. La política de tu amor Difiere, se amorfa Con las tentaciones Y perversiones Del Glamour de tu vanidad.
IV No es el hecho de que escriba, No es el hecho de que leas Es el gusto de mi vida El saber que eres ajena.
V Cobíjame en tus espacios ¡cariño! Arrebata el dolor adormecido Vierte tu amor en el mío, Endulza mi alma y termina conmigo.
VI. Espósame junto a lo sutil, Acaríciame en tu piel; Duerme conmigo Pervierte mi camino, Hasta que la embriaguez Nos mate de amorío.
VII. Vuelco las estrellas con la aurora de tus ojos Aniquilo el paisaje de la noche desolada; Parto de caballeros que aman y no claudican, Enrédame con llamas desmoronando mis pupilas.
VIII. No tengo foto de tus labios rojos, De tu risa tierna Ni de tu amor aguerrido. Mándame una foto tierna niña Y la enmarco junto a mi destino Sabré cuidarla cariño mió.
IX. Un torbellino de pasión me encontré cuando me recostaba Dispuesto a soñar y clavar la mirada en el cristo aquel Supuse que venias entrando al laberinto de la noche Cuando yo tomado del consuelo me embriagaba del ayer. OH! mujer que no te veo, pero te siento; Ámame sin temores con la paz de los amores por renacer; Digiere mi veneno que el torrente en tu pecho se detendrá; OH mujer, mujer quémame hasta perderme en ti.
X. En una vez posare y cantare Amaras y borrarás los pergaminos, Verterás amor sobre el cielo Al volver al nido; Despiértame cuando lleguemos Me tocara ver la luz Y el rostro de tus suspiros.
XI. Por que amanece sin ti Y por las noches, calumnias serán Descarada la franqueza de tu humanidad Brota llanto, el perfume hizo acto De mi conciencia y soledad.
XII. Cual paso sin dejar huella, Y un olvido postergado La noche sin estrellas Y mi corazón quebrantado Vago solo con arritmia Por las calles desbocadas Me acompaño de tus risas Y mi saciedad embargada.
BRIÈVETÉS
I C’est ton monde, Toi et ton feu Ta passion, ton abandon ; La manière de convaincre Mes nuits paralysées, Les tendres câlins, Tes baisers, ta magie, Tout ce qui m'intrigue Tu es tout, Femme de feu.
II Je t'aime dans ma folie Plat et perspicace roucoulement de pluie Endormie et submergée d’eau bénie, Amour du siècle, amour tout bon En toi je voyage sans chercher de réconfort.
III La politique de ton amour Diffère, s’amorphe Avec les tentations Et les perversions Du Glamour de ta vanité.
IV Ce n’est ni le fait que j’écrive, Ni le fait que tu lises C’est le goût de ma vie Savoir que tu es d’un autre.
V Couvre-moi ma chérie ! Arrache la douleur endormie Verse ton amour dans le mien, Adoucis mon âme et achève-moi.
VI Menotte-moi finement, Caresse-moi avec ta peau ; Couche avec moi Dénature mon chemin, Jusqu’à ce que l'ébriété Nous tue d'amour.
VII. Je renverse les étoiles avec l'aurore de tes yeux J'annihile le paysage de la nuit désolée ; Je suis Issu des chevaliers qui aiment sans soumission, Entoure-moi des flammes pour détruire mes pupilles.
VIII. Je n'ai ni la photo de tes lèvres rouges, Ni celle de ton tendre rire Ni de ton amour expérimenté. Envoie-moi une photo douce enfant Et je l'encadrerai avec mon destin Je saurai veiller sur elle ma chérie.
IX J’ai rencontré un tourbillon de passion en m’endormant Disposé à rêver et à clouer le regard dans ce christ J'ai supposé que tu venais d’entrer dans labyrinthe de la nuit Quand pris de réconfort je me soule d'hier. Oh ! Femme je ne te vois pas, mais je te sens ; Aime-moi sans crainte avec la paix des amours naissants ; Digère mon poison, que le torrent dans ta poitrine s'arrête; Oh femme, femme brûle-moi jusqu'à me perdre en toi.
X Un jour je poserai et je chanterai Tu aimeras effacer les parchemins, Tu verseras de l'amour sur le ciel En retournant au nid ; Réveille-moi quand nous arriverons Ce sera mon tour de voir la lumière Et la couleur de tes soupirs.
XI Pour qu’il fasse jour sans toi Que les nuits, les calomnies Déchargent la franchise de ton humanité Pousse des pleurs, le parfum a fait effet Sur ma conscience, sur la solitude.
XII. Tel passe sans laisser de trace, Un oubli retardé La nuit sans étoile Et mon coeur brisé. J’erre seul avec arythmie Dans les rues emportées Je m'accompagne de tes rires Et de ma satiété inassouvie.
Traduction: Abdelouahid Bennani | |
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